Le bronzage versaillais m'a inspirée. Évidement les pommes illustrées du Potager du Roi sont plus élaborées, mais la méthode doit être similaire, (masque adhésif, patience, ne pas soulever le masque trop tôt, le recoller ni-vu-ni-connu...)
Cet automne on a des pommes identifiées, et une nouvelle floraison inattendue.
10 commentaires:
great idea!
voulez vous venir diner demain soir?
Mais que devient le tatouage lorsque l'on mange la pomme ?
Catherine: on se voit
Jen: Le tatouage n'est pas un tatouage, c'est simplement une non-coloration de la peau, à l'abri du soleil, exactement comme le bronzage.Mais je n'ai peut-être pas compris la question!
C'était une vaine tentative de poésie, donc de question qui n'attendait pas forcément une réponse très concrète.
bon alors je n'ai plus qu'à retirer la réponse.
Elle n'est pas vaine, la tentative, elle est mal comprise, nuance, nuance...
pour Jen : dans la compote, ça doit faire un espèce de poëme, non ?
ah ,bravo Anne! comme on a des Melrose, des Cox-orange et des Benedictin gravées ça peut faire des "merles indécents", ou un "orage incendié" dans la compote.
Oh, orage incendié, c'est trés trés beau!
l'année prochaine, tu pourras graver "le bateau ivre" ou "sous le pont Mirabeau" dans le verger!
et le livre électronique peut aller se rhabiller, non mais!
ah que ca fait du bien, tiens...
Avec des poèmes dans la compote, je vais peut-être finir par aimer les manger ! (les compotes pas les poèmes)
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