lundi 3 janvier 2011
Macaronner...
Pour la nouvelle année, j'ai appris un mot.
Voici mes premières coques de macaron au chocolat. J'ai donc du délicatement mais fermement "macaronner", c'est à dire incorporer la meringue italienne à l'appareil sucre-amandes...
Voilà, comme ça, je démarre l'année au top de la mode, sans me dégonfler, mi-Ladurée, mi-Pierre Hermé, mi-Gérard Mulot ( je suis diplomate , je ne veux vexer personne. Quand on aime on ne compte pas) .
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8 commentaires:
Oooh qu'ils ont l'air bon !
Qu'en a pensé le goûteur officiel ?
Sublime, forcément sublime...
Forcément , trois demis de tous ces grands hommes, ca ne peut être que paradisiaque...
Mais que c'est joli et que ca me semble bon! sans mentir, si vos macarons ressemblent à vos meringues, vous êtes les génies des patissiers de Normandie!
Ah, que c'est sympathique tout ça!
Es-ce qu'en plus d'être une belle harmonie de couleur, et certainement très bon... Es-ce que ça se conjugue: Macaronner, je macaronne, tu ta caronne... Ils s'acaronnent... Nous nous fumes acaronner...
vous fûtes zacaronnés?
C'est une excellente idée ça. Pour le nouvelle année j'ai appris 1 mot et une nouvelle forme de conjugaison!
Voilà, il suffit de quelques semaines de neige et de froid pour passer du jardin à la cuisine. Heureusement, les macarons ne viennent pas de la glacière,( petite ruine en haut du grand pré, servant autrefois à confectionner les meilleurs sorbets à la poire qui soient) et sont absolument savoureux, délicieux, merveilleux. A croire que la période des fêtes n'a pas suffit.
Les linguistes ayant l'air de s'en donner à chœur joie, je contribue modestement.
A bons macaronneurs...
Kobayenko
L'évocation du sorbet à la poire, Kobayenko, a un léger parfum d'été et des effluves de goûters au soleil qui ne sont pas pour me déplaire, par temps gris et venteux.
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