On n'est pas à l'abri de réveils encore un peu froids en cette saison. Les tomates sont un peu protégées des vents du nord et de l'est. La théorie voudrait que la chaleur du jour s'accumule dans les vieilles tuiles épaisses, et soit restituée un peu pendant la nuit. Peut-être gagne t'-on ainsi un providentiel demi degré...
6 commentaires:
what a good idea!
De loin, on dirait un champs de bêches !
Ah que le potager au printemps est plein de promesses. Toutes ces tomates à venir feront de belles salades, des coulis merveilleux, ou séchées au four,(le soleil est ici parfois un peu insuffisant) et conservées dans l'huile elles seront un délice pour l'hiver prochain. Mais il ne faudrait oublier la météo, capricieuse parfois des pluies discontinues tout le long de l'été, réduisent à néant la récolte espérée. Alors, les tuteurs en nombre et en châtaignier feront de petites feuilles et de belles racines puis au cœur de l'hiver trouveront une place dans les haies alentour. Le jardinier est plein de ressources, et faute de tomate mangera des noisettes d'ici quelques années.
PBH.
Que c'est joli tout ça, les goodidis, les bêches, et les noisettes potagères.
Merci, tous!
c'est une variété de tomates timides, que vous avez plantée là?
Elles rougiront de toute façon!
J'espere bien qu'elles rougiront, je les attends de pied ferme.
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